La mort du chef de FETÖ, Fetullah Gülen, et le processus des funérailles en Pennsylvanie.

Concentration à Pennsylvanie après la mort du chef de FETÖ, Fetullah Gülen

Après le décès de Fetullah Gülen, le chef de l’organisation terroriste FETÖ, le 20 octobre, une grande foule s’est formée autour de son domaine en Pennsylvanie, aux États-Unis, avec des membres de l’organisation venant pour assister aux funérailles. Cette situation a également créé une affluence dans les hôtels de la région, et une activité fréquente a été observée parmi les participants.

Dans le parking de la ferme de Gülen et autour du bâtiment principal, de nombreux véhicules et une foule de personnes étaient présents. Bien que l’on s’attende à ce que le chef de FETÖ, Gülen, soit enterré sur le terrain de la ferme, le lieu exact de la tombe reste incertain. La machine utilisée pour creuser la tombe, amenée sur le site de la ferme, est restée au même endroit pendant des jours, rendant la situation encore plus complexe.

Les membres de l’organisation participant aux funérailles ont déclaré qu’aucune information claire sur le programme funéraire ne leur avait été communiquée et qu’on leur avait dit d’attendre. On a appris que l’organisation avait appelé ses membres dans différents pays, notamment aux États-Unis, à augmenter leur participation aux funérailles, et ceux qui ne pouvaient pas y assister ont été encouragés à organiser des prières funéraires symboliques dans leurs villes.

Essai de bloquer la prise de vue par drones

Les membres de l’organisation ont essayé d’empêcher les journalistes de prendre des images en utilisant des drones dans la zone funéraire, cherchant à contrôler cette situation. Dans ce processus, ils ont tenté d’empêcher la prise d’images en utilisant leurs propres drones.

D’autre part, tandis que le corps du chef terroriste Gülen est toujours retenu à l’hôpital St. Luke’s, les journalistes turcs suivant les funérailles autour de l’hôpital ont été harcelés par des personnes non identifiées qui prenaient de manière intrusive des photos et des vidéos. Cette situation a créé une atmosphère inquiétante tant pour les journalistes que pour la sécurité environnante.